Cette page vous présente le modeste
matériel d'observation astronomique dont je me sers
courament. Il n'est pas nécessaire, surtout pour ceux
comme moi qui ont plusieurs hobby, d'investir
énormément pour pouvoir se faire plaisir dans ce
domaine.
A ce jour, j'utilise surtout des instruments d'entrée de
gamme, dont j'essaie d'en tirer le maximum. Il faut dire
qu'aujourd'hui, grâce à une concurence sans merci des
fabricants de matériel astro, et de la venue sur le
marché de matériel "made in China" très bon
marché et aux qualités plus que bonnes, on peut
pratiquer l'observation astronomique sans se ruiner. Ce
qui n'était pas le cas il y a quelques années, où,
pour avoir du matériel optiquement très bon, il fallait
débourser beaucoup ou se construire soi-même son
télescope.
Tout d'abord
un retour en arrière: voici les photos de quelques-unes
de mes anciennes réalisations personnelles:
Le premier télescope:
Optique de grande diffusion 90/1000
Tube PVC + contreplaqué. Chercheur 50mm. |
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La tablette équatoriale
à entrainement manuel. Que de clichés
réalisés avec ! (voir quelques photos) |
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Mon premier télescope sérieux.
Entièrement en contreplaqué, type "Pierre
Bourge", avec optique "Roger Mosser"
120/1000 (miroir primaire sphérique: la sphère
était parfaite au foucaultmètre).
Entrainement sur secteur lisse par moteur
synchrone 220v avec corrections sur raquette. En
déclinaison, correction manuelle.
Chercheur PVC avec optique de jumelles 50mm.
Platines interchangeables pour visuel, adaptation
photo ou caméra vidéo. |
Ci-dessous une partie de mon matériel, du
plus récent au plus vieux...
Setup
léger pour l'observation du Soleil:
Ayant abandonné l'imagerie
solaire depuis pas mal de temps, je m'y suis
remis le 5 octobre 2022 avec un ensemble léger,
monture azimutale goto Az-Gti Skywatcher, lunette
80ED Skywatcher et filtre objectif avec une
feuille "astrosolar" grade 5 (visuel et
photo):
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Setup
léger pour les vacances ou les soirées "relax":
Pour les vacances mais aussi
pour les soirées relaxes, j'ai constitué un
ensemble ultra léger pour imager le ciel et ne
prenant pratiquement pas de place dans la voiture. La
monture est une "SkyWatcher Star Adventurer"
légère (1,2kg) et très complète, alimentée
par 4 piles AA, suivi sidéral, semi-sidéral,
solaire, lunaire. Vitesses time-lapse déjà pré-programmées
(12h/4h/2h par révolution). Viseur polaire
précis et illuminé. De quoi faire en vacances !
Comme j'emmène toujours un trépied photo
pour mes images de vacances, ce dernier fera
très bien l'affaire pour supporter cette monture.
La lunette est constituée d'un ancien
objectif photo Fujinon focale 55mm et ouverture
max à FD1,8 et d'une pièce d'adaptation entre
le pas M42 de l'objectif et la caméra Asi224mc.
Cette pièce a été réalisée par un ami
tourneur. Tous les objectifs au pas de M42 s'y
adaptent. Il va s'en dire que l'ensemble est
ultra léger et très peu encombrant.
Mais il est illusoire de vouloir faire de
beaux clichés avec une ouverture de 1,8. la
meilleure qualité étant obtenue en fermant le
diaphragme à 4. C'est bien moins lumineus et il
faudra compenser en durée d'exposition, mais la
qualité est à ce prix !
J'ai également acquis d'occasion deux autres
objectifs au pas vissant de M42, un télé 135/3,5
et un grand angle 28/2,8.
Ci-dessous l'objectif fermé à FD 4:
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Télescope
newton SkyWatcher 150/750 sur monture Az-Eq5 et caméra
Cmos planétaire ZWOptical Asi224mc couleur:
Ceci est le matériel que j'utilise
actuellement.
La monture Heq5 a été remplacée par une
monture plus performante, des courroies
remplaçant les engrenages, un viseur polaire
plus précis, et bien d'autres améliorations.
Le télescope 150/750 a une excellente optique (voir
les images prises), un porte-oculaire plus
robuste avec un réglage fin de la mise au point
(démultiplication par 10).
L'ordinateur portable a également été
remplacé par un modèle beaucoup plus performant,
surtout pour les prises de vues planétaires où
le débit de transfert ultra rapide a son
importance.
On notera que toutes mes prises de vue astro sont
effectuées avec le matériel sur la terrasse
dans mon jardin situé dans mon village.
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La caméra Cmos Asi224mc (couleur) remplace
mon ancienne Asi120mc. Elle est bien plus
performante, surtout pour l'imagerie du ciel
profond en poses rapides. Il y a très peu de
pixels chauds par rapport à l'ancienne caméra.
Le bruit de lecture est extrêmement bas, ce qui
permet de faire des poses très courtes avec une
grande sensibilité. Par contre l' Asi224mc est
affectée du phénomène d'électroluminescence,
qui provient de composants électroniques qui
chauffent et qui sont placés d'origine trop
près du capteur IMX224. Une nouvelle version de
cette caméra a amélioré les choses.
On voit nettement sur les deux clichés "darks"
ci-dessous la différence en pixels chauds, à
même temps d'exposition de 20 secondes et à
gain égal (en db). On aperçoit également le
phénomène d'électroluminescence à la droite
de l'image de droite. Il est quand même possible
déliminer les pixels chauds ainsi qu'une grande
partie de l'électroluminescence par traitements
informatiques des images.
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Télescope
maksutov SkyWatcher 180/2700 sur monture HEQ5pro goto (2014):
Mon ancienne monture K5 ne convenait plus
pour l'imagerie planétaire. Il fallait une
monture plus perfectionnée et capable de
supporter plus de poids, tout en restant
relativement légère à transporter. Le choix se
porta sur une HEQ5pro Goto de Skywatcher.
Elle est équipée de la raquette de commande
Synscan et peut être pilotée par ordinateur. Un
port d'autoguidage y est également présent. Le
télescope pour l'imagerie planétaire est un Maksutov de 180mm de
diamètre et de 2700mm de focale, de la marque
Skywatcher. Pour éviter la buée lors des nuits
humides, et également pour éviter les
turbulences internes au tube dues à une mise en
température trop longue, je l'ai équipé d'un
pare-buée et surtout d'une résistance
chauffante placée autour du tube juste derrière
la lentille ménisque frontale.
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Caméra
Cmos planétaire ZWOptical Asi120mc couleur (2014):
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Cette caméra Asi120mc, assez récente,
possède un capteur Cmos MT9M034 monochrome
associé à une matrice de Bayer. La résolution
est de 1280 x 960 avec des pixels de 3,75 microns.
Ce qui permet de faire de l'imagerie planétaire
à haute résolution en utilisant des focales
deux fois plus courtes pour une même résolution,
par rapport à certaines autres caméras
planétaires. Elle monte jusqu'à 200 images/seconde
en 320x240, 110 images/seconde à 640x480, et
permet encore 32 images/seconde à 1280x960. Elle
permet des poses de 64 µs à 1000 secondes.
Malgré son champ réduit, l'imagerie du ciel
profond est possible grâce à sa très bonne
sensibilité. Elle est auto-alimentée par le
port USB2 avec une consommation relativement
faible, et possède un port d'autoguidage
compatible ST4. Son poids de 100g et ses petites
dimensions en font un instrument idéal pour tous
les "setup".
Chez moi, elle fonctionne en association avec un
petit Netbook EeePC 910h, même si des fois je n'arrive
pas à avoir le débit maximum, ce qui est
parfois pénalisant. Mais bon, le netbook a
déjà plus de six ans ! |
Lunette
apochromatique SkyWatcher "série pro" 80ED (2006):
Toujours de fabrication chinoise (Synta), cette
lunette est de très bonne qualité. La bonne surprise
est que chez ce fabricant, les produits sont sans cesse
améliorés, et que les prix baissent par rapport aux
anciennes versions.
Mécaniquement, l'amélioration est dans une meilleure
finition, plus de coulures de peinture, et couleurs plus
agréables. Et surtout le système de mise au point type
"Crayford" est plus doux et la mise au point ne
bouge absolument plus quelle que soit le poids des
accessoires (gros oculaires, caméra CCD, appareils photo,
etc...).
Optiquement, l'objectif est un doublet, dont la
deuxième lentille (intérieure) est en verre faible
dispersion ED fluorite type FPL-53. Les images sont très
piquées et contrastées même à fort grossissement. Le
défaut de chromatisme n'apparaît qu'à très fort
grossissement, et encore de façon négligeable à la
mise au point.
Ci-dessous, extrait de l'original de la description de
cette lunette. Cliquer sur l'image pour avoir la page
complète.
Ci-dessous, vues de la lunette sur une
monture K5 motorisée, de l'objectif et du pare-buée
amovible, ainsi que sur le viseur polaire. Ce viseur est
très précis et permet une excellente mise en station,
pour peu qu'on prenne le temps de procéder aux réglages
préliminaires. En effet, si on veut faire de la photo
astro, il est impératif de rendre l'axe du viseur
parfaitement parallèle à l'axe de rotation en AD (ascension
droite) de la monture (ce qui n'est pas réalisé en
usine, mais il y a trois vis de réglage pour cela)..
Ensuite il faut que le cadran réticulé à l'intérieur
du viseur soit en corrélation avec le cercle des dates (ce
qui n'est pas non plus réalisé en usine, mais il y a
également trois autres vis de réglage pour cette
opération). Que d'observateurs ayant acheté ce type de
monture (EQ5, EQ3-2, LXD55, etc...) se plaignent de la
médiocre précision. A l'achat, le vendeur ne fait
pratiquement jamais la remarque concernant les réglages
préliminaires. Une fois effectués, ils ne bougeront
plus dans le temps.
Pour les réglages et la mise en station, voici un lien
intéressant, en anglais: backyardastro
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Ci-dessous, photo prise dans le
viseur polaire,
dont le réticule est illuminé par une diode LED
verte
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Nota: vous
trouverez sur cette page
une aide à la mise au point avec la lunette 80ED. |
Télescope
maksutov SkyWatcher 102/1300 (2003):
Depuis quelques temps, le marché
mondial est inondé par du matériel astronomique en
provenance de deux ou trois fabricants chinois. Il est
distribué sous différentes marques comme "kepler",
"skywatcher", "orion" ou encore
"fréhel", et j'en passe...
Ce matériel est en général bon à très bon, avec des
qualités optiques la plupart du temps très bonnes, bien
qu'il y ait des loupés, dus à la production de grande
masse.
Mon choix s'est porté sur ce télescope, pour diverses
raisons:
De par ses dimensions réduites on peut l'emmener
facilement en vacances dans une valise, et avec un pied
photo on est opérationnel.
Les soirs de semaine, quand il faut se lever de bonne
heure le matin pour aller travailler, sortir un
télescope plus imposant est souvent décourageant, alors
le petit maksutov est le bienvenu. Il reste en permanence
sur son pied photo, et en quelques secondes il est
opérationnel.
En plus il est bien adapté à l'observation visuelle et
photographique planétaire, de par sa longue focale, sa
mise en température rapide et sa qualité optique. Il
suffit de voir les clichés dans la page photos A70.
Vue
sur l'arrière avec les vis de collimation.
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Le diamètre optique
de ce télescope (fabricant "Synta")
est de 102 mm et sa distance focale de 1300 mm.
Dans sa version de base, uniquement le tube
optique (avec fixation par platine au pas kodak),
le chercheur est un 6x20 un peu juste, alors que
dans la version sur petite monture équatoriale
le chercheur est un 6x30 bien meilleur. Il existe
également un modèle de téléscope plus petit (90/1250)
et un modèle plus grand (127/1500).
Il est livré avec deux oculaires (10 et 20 mm de
focales) de qualité moyenne, excellents au
centre mais beaucoup moins bons sur les bords de
champ, et un renvoi coudé standard. J'ai
remplacé ce renvoi coudé par un modèle de chez
"Takahashi", pour sa qualité optique
légèrement supérieure, mais surtout à cause
de sa bague de serrage concentrique, très
pratique.
En plus ce que j'ai particulièrement apprécié
sur ce télescope, c'est sa robustesse, la
possibilité de faire la collimation du miroir
primaire, le bouton de mise au point largement
dimensionné et très agréable, ainsi que l'absence
totale de "shifting" à la mise au
point. |
Vue du mak sur son
pied photo.
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Le menisque
correcteur et le miroir primaire.
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Le pare-buée
nécessaire à cause du ménisque.
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Vue du mak sur son
pied photo.
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Le menisque
correcteur et le miroir primaire.
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Le pare-buée
nécessaire à cause du ménisque.
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Télescope
newton SkyWatcher 150/750 (2002):
Ce télescope, également de provenance
chinoise (fabricant "Synta"), m'a séduit par
son prix et par ses qualités d'ensemble. Il me sert pour
les observations prolongées, surtout du "ciel
profond", malgré que l'observation planétaire n'est
pas en reste. De par sa courte focale, il est peu
encombrant, et très lumineux pour la photo stellaire.
Au "star test", l'optique semble relativement douce,
avec une légère sous-correction, sans bords rabattus du
miroir primaire (un autre télescope du même type a
montré des bords rabattus par contre). Le miroir
secondaire est légèrement décalé vers le côté
opposé au porte-oculaire pour le rapprocher du primaire.
Ceci est un bon point pour la conception, car c'est ce qu'il
faut faire pour les télescopes newton à rapport d'ouverture
(focale/diamètre) égal ou inférieur à 5, afin d'intercepter
la totalité du cône de lumière sans agrandir le
secondaire (ce qui augmenterai l'obstruction).
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A gauche, le télescope sur sa
monture motorisée.
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Ci-contre, la raquette de commande
des moteurs pas-à-pas en ascension droite et en
déclinaison, avec différentes vitesses
possibles pour les rattrapages. Fonctionnement
prévu dans les deux hémisphères terrestres.
Ci-dessous, le viseur polaire,
pas très lumineux, mais efficace lorsqu'il est
bien réglé dans l'axe (réglage préliminaire
souvent oublié, mais indispensable). On voit, ci-dessous,
les vis de réglage.
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A gauche, vue sur l'araignée
supportant le miroir secondaire. On voit
nettement le décalage du miroir pour intercepter
le plein cône de lumière. Il y a également des
vis de réglage pour la collimation. A droite,
j'ais mis un petit repère auto-collant sur le
tube pour une remise en place correcte pour l'équilibrage,
après transport.
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A gauche: le miroir primaire
étant collé sur une plaque réglable pour la
collimation, les 3 ergots de sécurité ne sont
pas nécessaires, d'autant qu'ils dégradent les
images en interrompant les cercles de diffraction
d'une image stellaire en trois points (voir les
cônes sombres sur l'image des étoiles ci-dessous
à gauche).
J'ai donc enlevé les ergots (cliché ci-dessus)
et la sécurité est assurée par les 6 rondelles
(ce qui est largement suffisant pour le cas
hautement improbable où le miroir se
décollerait par très grands froids).
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Certains exemplaires de télescopes
newton peuvent avoir des miroirs primaires avec
des bords de miroir rabattus. Cela arrive lors de
production de masse où les miroirs sont taillés
à la machine et très rapidement parabolisés.
Dans le cas où il n'est pas possible d'échanger
le télescope, on peut fabriquer des caches avec
des ouvertures de différents diamètres suivant
l'épaisseur des bords rabattus. On perd un peu
en lumière, mais on gagne en piqué d'image.
Ci-dessous 2 caches de diamètres 120 et 140.
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Ce télescope étant remisé à l'intérieur
de la maison, il faut le laisser trouver son
équilibre thermique avant d'observer, surtout en
hiver où les différences de températures sont
assez importantes. Sinon les images sont
dégradées par la turbulence interne du tube.
Pour accélérer cette mise en température, j'ai
dévissé le fond d'origine (les 3 vis visibles
sur le cliché de gauche), et remplacé par un
fond avec un petit ventilateur 12 volts (de
processeur d'ordinateur). Des trous
supplémentaires permettent d'accéder aux vis de
collimation (cliché de droite). |
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Petite
lunette solaire 30/280:
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Cette petite lunette, d'origine
russe, et vendue aux alentours de 25 euros dans
les magasins d'optique comme lunette d'approche,
est excellente au point de vue optique. Elle me
sert comme lunette solaire, tenue à la main,
pour visualiser rapidement l'activité du Soleil. A
gauche, munie de son filtre solaire en "Astrosolar".
A droite, vue sur l'excellent objectif
achromatique.
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Jumelles
Nikon 10x50:
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Ces jumelles, qui m'accompagnent
partout, sont très bonnes pour l'observation du
ciel. D'un diamètre d'objectif de 50 mm et d'un
grossissement de 10 x, elles ont un champ très
étendu, ce qui est vraiment intéressant pour le
"ciel profond". En plus, le piqué d'image
vaut bien celui de certaines paires bien plus
chères. La pupille de sortie de 5 mm est en plus
bien adaptée à mon âge, ce qui me permet de
profiter pleinement du diamètre d'objectif de
ces jumelles. |
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Appareils
photo:
Ayant longtemps utilisé un
appareil photo argentique Olympus OM1N, puis son
grand frère l'OM4TI, tous les deux très bien
adaptés à la photo astro (voir photos),
je suis passé à la photo numérique, tout d'abord
avec un ancien Camedia 1400 Olympus d'occasion,
puis avec l'un des derniers appareils grand
public Canon A70.
Pourquoi avoir choisi le Canon A70, à cause de
ses possibilités en photo astro, mais aussi à
cause de sa taille pour la photo de tous les
jours. En plus il est très économe en batteries.
Ses grands avantages en photo astro, ce sont d'abord
ses poses de 15 secondes avec génération
automatique des "darks" (réduction du
bruit) pour les poses supérieures à 1,3
secondes , puis sa facilité pour enregistrer des
séquences vidéo en format "avi compressé"
640 x 480 sans avoir besoin d'ordinateur portable
comme pour les webcams, et enfin sa fidélité de
restitution des couleurs, même aux poses les
plus longues. La durée des séquences vidéo est
fonction de la carte mémoire CompactFlash (128
Mo sont déjà bien suffisants). Pour
retravailler ces fichiers "avi compressés"
il suffit de les décompacter avec "VirtualDub"
puis de les traiter comme les fichiers issus de
webcams, sous "Iris" ou "Registax". L'inconvénient
par rapport aux webcams, c'est la possibilité d'une
très légère dégradation des images due
justement à la compression.
Bien sûr, cet appareil ne vaut pas un reflex
numérique à objectifs interchangeables, mais
comme appareil polyvalent pour pas trop cher, il
est excellent. |
Canon A7O
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Olympus OM4TI avec objectif 50mm/1,4
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Comme dit ci-dessus, un compact numérique,
bien que permettant déjà de belles photos en
astro, ne vaut pas un reflex numérique. Et un
des plus approprié dans ce domaine, tout en
restant dans la gamme d'entrée en reflex, est le
Canon 350D. Son capteur CMOS de 8 millions de
pixels est l'un des moins bruité qui existe. Il
supporte très bien les longues poses en haute
sensibilité (800 et 1600 asa), et en
température ambiante.
Alors, bien sûr, j'ai franchi le pas, et en ai
fait l'acquisition pour Pâques 2006.Le
premier bricolage a été de confectionner une
télécommande simple pour les poses longues, et
pour éviter le bougé (voir cliché ci-contre).
Plus de détails ici.
Mes premiers essais en photo astro avec cet
appareil et son objectif d'origine sont en bas de
cette page.
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Depuis 2010,
le canon 350D a été remplacé par un modèle
plus évolué, Le 500D. Celui-ci possède en plus
de la visée reflex la visée par écran LCD (LifeView),
ce qui facilite grandement la mise au point, d'où
un gain de temps et un confort appréciable !
Voir le test sur cette page. |
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Accessoires:
Pour terminer, voici ce qu'on
arrive quelques fois à oublier lors d'une sortie
astro:
La valise à accessoires.Ce
genre de valise se trouve facilement et pour pas
cher, dans les hypers de bricolage. Elle est
indispensable pour protéger les accessoires et
surtout ne rien égarer.
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